Bienvenue sur le nouveau forum des Descendants de l’humanité, se passant 1250 années après le précédent forum.
Les choses ont bien changé sur Terre depuis la première catastrophe nucléaires, une seconde catastrophe créé par l’éther a marqué l’histoire de façon drastique, réveillant d’ancienne entité qui n’auraient jamais dû se réveiller.
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Quelle espèce êtes-vous ?: Lumina
Biographie: Daenarya est une jeune femme curieuse et ouverte d'esprit. Décidée à réformer l'ordre Lumina, elle aimerait ouvrir sa famille aux autres et permettre au peuple de se rapprocher des siens.
Pour autant, la guerre qui se profile à l'horizon au sein même de sa famille et questionnant sa légitimité au trône, la pousse à la paranoïa et à se refermer sur elle-même.
Lieu d'habitation: Citadelle Lumina
Votre petite tête: Hauts faits :
Alors que je suis prête à imploser de plus belle face à toutes les annonces et face à ce que je dois encaisser, Gérald me poursuit. Les mots d'Olaf raisonnent dans ma tête, mais comme une trahison, comme si je ne pouvais supporter le fait qu'il choisisse la paix et l'espoir face à la mort de nos parents. Je ne peux pas laisser ceux qui ont préparé ces meurtres s'en sortir, c'est impossible. La voix de Gérald me poursuit et je me tourne pour lui faire violemment face.
Laisse-moi tranquille ! je lui hurle.
J'ai l'impression qu'autour de moi, tout tourne et tout tremble. Est-ce simplement une impression ? Les mouvements du meuble sur ma droite me paraissent bien trop réels. Je suis en train de péter les plombs. Comment pourrais-je redescendre sur terre si Gérald est ici, à soutenir la gentille Phoenix qui ne demande qu'à disparaître ?
Je te l'avais dis Phoenix, ronronne la voix. C'est dans la douleur, que tu t'éveilleras.
Alors que Gérald me parle et s'approche, je recule de plusieurs pas.
J'ai... J'ai juste besoin d'être seule. Laisse-moi seule. S'il te plaît, je ne veux pas te blesser.
Je lui tourne le dos mais il insiste. La Phoenix qui est en moi et qui vit par bonté l'implore littéralement de ne pas l'abandonner car elle est si proche du gouffre. Alors qu'au contraire, celle qui ne demande qu'à détruire, la Phoenix qui s'apprête à gagner, elle, ne rêve que de terrasser Gérald.
Je déboule dans un couloir lorsqu'un garde s'interpose devant moi.
Vous n'avez pas l'air très en forme, mademoiselle. Laissez-moi vous conduire près de notre docteur. Pousse-toi de mon chemin, je grogne. Mademoiselle, veuillez vous calmer. Pousse-toi !
Je pousse violemment le garde qui s'énerve aussitôt et m'envoi valser contre un mur. Je reste au sol, le corps tremblant alors que le sang ruisselle de ma lèvre inférieure. Je perçois les pas de Gérald, je l'entends parler, mais je ne comprends pas ce qu'il dit. S'adresse-t-il au garde ? Je suis torturée intérieurement entre la violence de cette agression et la colère qui gronde en moi.
Libère-la, Phoenix. Libère la colère.
Les yeux posés sur le sol, là où les quelques gouttes de mon sang dansent, je lève la tête, toisant le garde qui ne me regarde même pas et qui n'a de yeux que pour Gérald. Le flambeau qui gravite derrière lui comme des centaines d'autres accrochés au mur, se met brusquement à brûler tel un intense brasier, avalant la tapisserie du mur. Le mur prend feu et les flammes se jettent massivement sur l'armure du garde qui l'enlève aussitôt et court appeler de l'aide. Autour de moi, le vent pénètre dans infrastructure car une fenêtre vient brusquement de se briser.
Je me relève aussitôt et je pars encourant, fuyant le centre stratégique, dont les dégâts, même s'ils ne sont pas irréparables, ont été causés par ma colère, par cette voix qui me parle. Je ne peux plus supporter cela.
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Quelle espèce êtes-vous ?: Banni
Biographie: Je suis Gérald Maugris, Fin séducteur, rusé comme un renard.
Je vis à Mortifia avec ma petite bande dans l'un des quartiers ou nous nous amusons à provoquer les autres bandes.
Lieu d'habitation: Mortifia
Votre petite tête: Hauts faits :
05 Nov 2016, 00:37 (Modification du message : 05 Nov 2016, 00:37 par Gérald Maugris.)
Vivre ou détruire, il faut choisir.
Avec Phoenix Stone
Alors que je parle à Phoenix, celle-ci ne semble pas y prêter attention. C'est comme si je faisais face à un mur qui fini par s'écraser sur moi avec fracas. Son hurlement m'arrête net. Je ne comprends pas vraiment, elle est complètement ailleurs, elle semble perdu et en colère.
Phoenix, je veux juste t'aider.
Sa réponse est assez claire, elle ne voulait pas de la compagnie de quelqu'un et encore moins d'un ange. J'ai beau essayer de la persuader que je ne lui veux pas du mal, elle ne semble pas avoir envie de m'écouter. C'est alors qu'elle se précipite dans le couloir mais est arrêté plus loin par un garde.
Je me rapproche rapidement mais c'est trop tard elle s'énerve contre lui et le bouscule, malheureusement lui aussi réagit et la projette contre un mur. Je me précipite vers le garde et commence à m'énerver dessus.
Comment avez vous osez ! Vous avez levé la main sur la représentante des humains.
Le garde me regarde bêtement.
Je n'ai fait que me défendre.
Je le regarde surpris et parle d'un ton ferme
Vous défendre ?! Vous vous moquez de moi !?
Je n'ai pas le temps de poursuivre que le feu s'agite juste à côté de nous, un immense brasier prend forme et se rue sur le garde qui prend alors rapidement la fuite paniqué jetant son armure et criant à l'aide. C'est alors qu'une fenêtre vol en éclat et le vent hurle dans le couloir.
Phoenix se relève et fuie rapidement, je devais choisir d'aider le garde entrain de bruler ou suivre Phoenix. Je ne me pose pas plus d'un instant et je me mets à cours pour rattraper Phoenix qui arrive dans une petite ruelle à l'extérieur non loin du centre stratégique. Je lui crie après.
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Pour autant, la guerre qui se profile à l'horizon au sein même de sa famille et questionnant sa légitimité au trône, la pousse à la paranoïa et à se refermer sur elle-même.
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Je m'enfuis telle une furie, alors que chaque endroit par lequel je passe s'embrase. Je n'ose plus regarder où que ce soit et je m'engouffre dans une ruelle sûr, où il n'y a pas la moindre trace de maison. Je m'arrête net devant un mur, me trouvant dans une impasse. Je cherche à reprendre ma respiration, mais j'ai bien du mal à contrôler la crise de panique qui m'a gagné.
C'est alors que la voix de Gérald me parvient. Il m'a suivi jusqu'ici, alors que le chaos régnait au centre. Pourquoi choisi-t-il de m'aider, moi ? J'oublie curieusement ma colère, lentement, alors que mon rythme cardiaque s'apaise. Je le laisse s'approcher.
Tu es têtu, finis-je par dire.
Il est gentil, foncièrement gentil et j'en suis persuadée. Après tout ce qu'il m'a montré de sa personnalité, je ne peux dire autre chose de lui. C'est un ange, banni ou non, qui n'a rien à voir avec les monstres qui ont détruit ma famille. La voix qui tente de me corrompre depuis des jours ne s'adresse plus à moi, étrange.
Je fais un pas vers Gérald une fois que je suis certaine d'être calmée.
Tu n'as pas peur ? je lui demande.
Peur de moi, de ce qui se déclenche quand je suis dans les parages. Je ne l'explique pas, je ne peux pas. Comment pourrais-je lui dire ce que je vois, ce que j'entends, ce que je fais ?
Aelita a raison, à propos des humains qui ont des dons. Je ne sais pas vraiment ce qui m'arrive, ni pourquoi. Je veux seulement t'éviter d'être blessé. Tu ne mérites pas ma colère.
Je m'approche d'avantage, laissant peu de distances entre nous. Je pousse un long soupir et je m'arrête à sa hauteur. Je pose délicatement ma tête sur son épaule.
Juste un court instant, je soupire.
J'ai cruellement besoin de me recentrer sur l'instant présent au risque de vivre une nouvelle crise de panique.
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Alors que je cours derrière elle, essayant de la rattraper et l'interpeller tout prend feu autour, plus on avance plus les flammes surgissent de partout. Tout le monde commence à crier, les gens cours prit de panique ne sachant comprendre ce qu'il se passe. Certains luttent contre le feu, d'autres aident les blessés.
Nous voilà dans une zone sur, le feu ne prend pas ici. Phoenix semble enfin décidé à s'arrêter. De toute manière c'est une impasse. Elle n'a pas d'autres choix que de me faire face.
Décidément tu as de l'énergie à revendre.
Elle commence à s'approcher de moi et s'interroge. Pourquoi devais-je avoir peur d'elle?
Aurais-je une raison de te craindre? J'ai déjà vu bien des choses bien plus atroces pour ne pas être effrayé par cela.
Elle se rapproche un peu de moi mais semble assez inquiète, elle n'explique pas ce qu'il se passe, après tout qui pourrai l'expliquer. Elle veut éviter de me faire du mal mais si ce n'était pas le cas je pense que je n'aurai pas pu m'approcher d'elle sans être attaquer par ces flammes comme le garde.
Il est sur d'une chose c'est que tu as le pouvoir de contrôler le feu. Enfin on ne peut vraiment dire contrôlé au vu de tout ce qui vient de brûler.
Elle fini par poser sa tête sur mon épaule pour souffler un peu.
Phoenix, l'ange de feu, c'est pas mal comme nom?
Si elle possède un tel pouvoir, quand est-il de son frère. Nous ne devrions pas rester ici.
Viens, suis moi, nous ferions mieux d'aller ailleurs, ici n'est pas un endroit pour se poser.
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Je ris doucement à la remarque de Gérald, faisant certainement aux anges de la mythologie et non pas ceux qui vivent sur cette terre aujourd'hui. Je relève la tête et je croise son regard, rempli de compassion. Je fronce les sourcils lorsqu'une étrange chaleur gravite autour de mon esprit, qu'est-ce donc ? Je me secoue la tête.
Un démon, plutôt, je maugrée. Un monstre.
Je le suis d'un pas nonchalant alors que nous errons tranquillement vers une destination qui m'est inconnue. J'en profite pour discuter, parce que j'en ai cruellement besoin, je crois.
Je ne sais pas si je peux le contrôler, dis-je. Jamais tu n'aurais du savoir toutes ces choses si funestes autour de moi. Je n'ai découvert cette capacité avec le feu que récemment. A vrai dire, j'y suis insensible. Disons plutôt qu'il ne me blesse pas, je ne sais pas pourquoi. Je crois qu'avec le temps, cette capacité se diversifie. Ces flammes qui se sont crées... Elles viennent de ce que je fais.
Je marche un arrêt lorsque j'entrevois une maison brûlée, avec ses occupants cherchant à éteindre le brasier. Je baisse les yeux et je fais la moue.
Je ne suis pas fréquentable et je ne suis certainement pas faites pour une vie en communauté. Je vais partir, d'ici peu.
Je suis les pas de Gérald et nous débouchons sur une allée bien plus calme. Où peut-il bien m'emmener ?
Mon regard se perd dans le vide, mais je suis pour l'instant sereine. La voix de mon esprit me laisse tranquille, mais pour combien de temps ?
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Je souris à la comparaison de Phoenix, il est vrai que le feu est plus représenté par les démons et l'enfer que l'inverse. Nous poursuivons la route au travers de la ville. Nous passons devant la zone qui a brûlé, certaines maisons ne semblent pas avoir trop souffert qu'en à d'autre, il est difficile d'appeler ça encore maison, c'est un amas de ruine calciné.
Phoenix me parle, elle ne connait pas vraiment ses pouvoirs et comment les contrôler mais je pense que tout peut s'apprendre, mais il faut mieux que cela soit dans une zone plus sur dans ce cas là.
Pourquoi te reproches tu quelques choses dont tu n'as pas le contrôle et que tu viens de découvrir? De grandes découvertes surviennent à la suite d’expériences malheureuses ou hasardeuses.
Nous poursuivons la route et plus nous traversons cette zone détruite plus elle semble affecté par cela.
Au contraire, tu as du remord pour ces gens, pour ce qui c'est passé, cela montre que tu es bien humaine. Il faut juste que tu apprennes comment cela se produit et comment le contrôler.
Nous traversons rapidement la ville et nous voilà à l'extérieur dans une zone isolé, nous progressons rapidement et prenons de l'altitude pour gravir la colline qui domine la ville.
Voilà d'ici nous avons une vue superbe sur toute la zone. Nous pouvons même voir la majorité du rempart. La cité est grande mais les terres vides à l’intérieure des murs aussi.
Nous parvenons au sommet et nous avançons vers une petite maisonnette avec une petite terrasse.
Bienvenu dans mon second chez moi. Ce n'est pas très grand et pas des plus confortable mais ici, personne ne viendra et tu peux te poser un peu.
Je ressors et lui montre une zone légèrement taillé et creusé dans le flanc de la colline.
Si tu veux ce coin est bien caché et tu peux essayer tes pouvoirs sans risque, il n'y a rien à détruire et personne ne te verras
Nous retournons à l'intérieur et je monte sur le toit et m'installe sur le banc qui fait face à la cité.
La vue est superbe ici tu ne trouves pas? Je préfère la nuit tombé mais le temps s'écoule rapidement.
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07 Nov 2016, 13:22 (Modification du message : 07 Nov 2016, 13:25 par Daenarya Lumina.)
Vivre ou détruire, il faut choisir.
Ft. Gérald Maugris
Je suis Gérald sans dire un mot, comment peut-il imaginer tout ce qui gronde en moi, tout le mal qui ne demande qu'à sortir ? Je le suis sans grande conviction et parce qu'il semble être le seul capable, pour le moment, de m'apaiser.
Nous arrivons sur la fameuse colline et je me sens tout de suite apaisée, non pas parce que c'est une colline, mais parce qu'elle offre une solitude parfaite et un calme adéquat à ce dont j'ai besoin dans l'immédiat. Je suis les mouvements de la visite guidée sans dire quoi que ce soit, je trouve cet endroit parfait pour ce à quoi j'aspire dans l'immédiat.
C'est parfait.
Nous grimpons sur le toit et Gérald s’assoit. Je reste debout, fixant la cité, fixant les flammes qui s'éteignent les unes après les autres. Je baisse les yeux, qu'est-ce que j'ai fait ? Que fera Olaf en l'apprenant ? Je détourne le regard et je vais m'asseoir sur le banc, près de Gérald. Je n'ose pas regarder la cité et je laisse mes yeux se balader sur les traits de Gérald.
La nuit est tout ce qu'il y a de plus beau, quoi qu'il en soit. Surtout ici, avec la chaleur qu'il fait la journée. La montagne me manque cruellement.
Je toise Gérald du regard alors que j'engouffre mes mains dans mes poches pour me tenir au chaud. Même si je ne crains pas la froid, la nuit ici est fraîche, surtout lorsque l'on est sobre et fatiguée. J'enfouis la moitié de mon visage dans ma veste.
Merci pour tout ce que tu fais pour moi. Je vais rester ici le temps de me reposer, mais cela ne change en rien mes plans.
Je captive son attention et je lui souris timidement.
Je vais retourner chez moi. Il y a tellement de choses que je dois comprendre et voir. Ce qui vit en moi, ce pouvoir... Il trouve une explication dans la montagne, je le sais. Je dois y aller, mais j'ai peur, j'ai si peur. Si peur que cela me rende d'autant plus mauvaise que je ne le suis aujourd'hui, si peur de n'être qu'un monstre de haine.
Je baisse les yeux, blottissant mes bras autour de moi pour me couvrir de la fraîcheur. Je repense à quelque chose lorsque je croise le regard de Gérald et je rougis, pour la première fois depuis bien des années. Pourquoi est-ce que je rougis, d'ailleurs ? Je pousse un long soupir.
Je suis désolée pour la dernière fois, ris-je nerveusement. Je viens de me souvenir que je t'ai embrassé. Ce n'était pas mon but, de t'embrasser, tu vois. Je n'étais pas très sobre, je suis désolée.
Je souris en coin et je lui tends ma main, fermement.
Amis ? je lance.
Phoenix qui sympathise, Olaf en serait plus que choqué ! Et pourtant, c'est ce garçon qui se trouve devant moi qui m'aide à sourire, qui m'aide à ne plus penser, à ne pas trop réfléchir et à laisser couler les choses trop difficiles à supporter toute seule. Lorsque je suis en sa compagnie, la voix disparaît lentement, comme si elle ne pouvait lutter, tout comme moi.
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J'observe tranquillement la ville sur mon banc, il est vrai que le spectacle est assez amusant à observer, après tout ce n'est pas la première fois qu'un bout de la ville brûle ou explose en éclat. Au moins il y a peu de chance que Phoenix soit accusé sauf pour le garde et encore rien ne prouve qu'elle en est la cause mais si on connait son pouvoir là on peut faire le rapprochement.
Je ressent cette peine et compensation que Phoenix éprouve actuellement, c'est assez étrange mais après tout qui aurai plaisir de tout détruire et s'en amuser sauf s'il est dénué de toute humanité.
Ne t'inquiète pas pour le feu, personne n'en sera rien, c'est assez courant à Mortifia des incendie du au climat ou au gang. Personne n'ira vraiment en chercher la cause.
Il semble que j'ai réussis à la clamer et à la distraire un peu. Il est vrai que c'est l'endroit parfait pour cela. Personne pour déranger, une vue splendide et tout le confort nécessaire. Pour autant elle reste décidé à vouloir partir. Je ne pouvais pas la retenir après tout. Puis ce n'est pas mon rôle et pourquoi devrait-elle rester ici?
Profites du lieu, tu es ici chez toi, je n'y viens que rarement et personne ne connait ce lieu.
Elle avait beaucoup d'interrogation ce qui est normal vu la situation et en chercher les réponses est naturel et quoi de mieux que d'aller là ou c'est apparu.
Je comprends, c'est bien le mieux pour commencer que de chercher l'origine de ce pouvoir et je présume que la bas tu avais déjà prit connaissance en partie.
Elle change finalement de sujet et se met à rire, cela me surprend un peu. Ce baisé, je ne pense pas vraiment qu'il est de sens sachant qu'elle était alcoolisé. Je lui souris.
Pas de soucis pour ça. tu n'as pas à t'excuser, cela à arriver à tous de déraper surtout après à avoir bu.
Voilà qu'elle me tend la main et ça question est très clair. Je réagit en retour et souriant.
Amis.
Voilà mon premier amis chez les humains. Il serai toujours bien d'en avoir d'autres. Je me demande comment elle va réagir à ma proposition.
Après je peux faire une partie de chemin avec toi, j'ai toujours rêvé de parcours le monde. Il me reste que le village à visiter, ayant déjà fait un séjour rapide à Terra même si ce n'était pas en touriste, et au vu de ce que j'ai vu la bas j'aimerai bien voir quelque chose d'autres mais seul je doute que je sois bien reçu, puis j'ignore le chemin.
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Je souris à Gérald. C'est un aventurier dans l'âme, même s'il est enfermé ici depuis des années. Je tapote son épaule, c'est comme cela que je me comporte avec mes proches, même si je n'en ai pas beaucoup, à vrai dire.
Je dois raccompagner les enfants au village, une paire de bras supplémentaires pour les protéger ne sera pas de refus, en effet.
Je toise la ville alors que le soleil pointe le bout de son nez. Les flammes ont pratiquement toutes disparues et j'espère du plus profond de mon cœur qu'il n'y ait pas de morts. Je ne supporterais pas l'idée qu'il soit arrivé quelque chose de si grave à quelqu'un, par ma faute. Je tourne la tête vers Gérald.
Tu es une bonne personne, ne l'oublie pas. Peu importe ton passé ou ce que tu as vu, cela ne doit pas affecter ton jugement futur. Je te dis ça mais j'aimerais tellement pouvoir l'appliquer.
Je hausse les épaules, je n'en suis pas encore capable à l'heure actuelle.
Je vais rester ici le temps de me reposer, puis nous partirons. Seulement, je dois être honnête avec toi, je ne sais pas si je ferais le chemin retour. Je vais raccompagner les enfants et je partirais dans la montagne pour trouver des réponses.
Je me lève du banc et je m'agite pour pouvoir récupérer un peu de chaleur.
J'espère que tu as de quoi te tenir chaud, je souris. Tu es un homme du sud, tu risques d'avoir très froid.
Je pénètre à l'intérieur de la maison, invitant Gérald à rentrer également. Je ferme la porte derrière moi et j'allume le feu à l'endroit approprié. Je fais signe à Gérald d'approcher.
Laisse-moi te montrer quelque chose, c'est sans danger.
Je lui tends ma main pour la lui montrer, puis je l'avance timidement vers le feu. Je la laisse s'y glisser et le feu se met à danser sur ma main, sans jamais la brûler. Je lui souris et je retire ma main, qui n'a pas changé de température.
C'est comme cela que j'ai découvert que j'étais différente. C'est tout récent.
Maintenant que mon pouvoir est passé au niveau au-dessus, m'offrant la possibilité de créer des flammes, il va me falloir réfléchir, méditer, et travailler.
Je vais me rendre en ville dans la journée ou peut-être ce soir, je dois m'équiper pour retourner en montagne. Mon armure est chez le forgeron. Tu veux bien rester avec moi, quelques heures ?
Je ne pense pas être capable de rester seule, pas pour le moment. Même si la solitude est tout ce que j'aime.
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C'est vrai, les enfants, je les avais oublié ces deux là. C'est sur qu'ils seront heureux de rentrer depuis qu'ils sont ici, déjà quelques mois depuis le retour de Rey.
Depuis qu'ils sont ici, ils ont bien mériter de revoir leurs parents.
Les flammes disparaissent au fur et à mesures, il ne reste plus grande chose à présent mise à part quelques fumeroles par endroits. Je souris à sa remarques.
Il n'y a pas de risque sur ce point.
Je comprend tout à fait qu'elle veuille découvrir les raisons de ses pouvoirs, je ne dois pas être un fardeau pour elle en la gênant.
Il n'y a pas de soucis, il suffit juste que je connaisse la route après le reste ne devrais pas être un problème.
Elle se lève et me demande si j'ai des habits chauds.
Mortifia n'est pas vraiment propice à ce genre de vêtement mais il devrait bien y avoir quelque chose après tout parfois il peut faire assez froid.
Je suis Phoenix à l'intérieur qui veut me montrer quelque chose. Elle me montre sa main puis la jette dans le feu. C'est assez surprenant mais rien ne se passe. Pas un crie, pas de douleur et pas de chair brulé. La main ressort comme elle est entré.
C'est... Surprenant. Cela peut-être pratique pour se réchauffer.
Elle a donc le pouvoir de créer le feu mais aussi y résister sans le moindre dommage subis. Cela peut-être très intéressant comme pouvoir. Je vais devoir prendre quelque équipements pour partir et surtout informer Rey de mon départ, autant en profiter vu que Phoenix doit faire de même.
Il n'y a pas de soucis, je ferai de même je dois aussi prendre de l'équipement pour se voyage et surtout informer Rey de mon départ. Le temps profitons de se calme qu'il règne. Tu veux quelque chose à boire?
Je vais fouiller dans mes placards. Il y a tout ce qu'il faut, alcoolisé ou non mais autant éviter l'alcool ou alors ne pas abuser.