25 Jul 2016, 17:50
De retour de l'enfer.

Avec Rey, Thaor et Gérald
La route fut longue et silencieuse. Tout le monde semblait bouleversé par tout les événements et personnes ne voulait parle. Je marche donc en silence à côté du reste du groupe. J'avais hâte d'arriver à destination pour enfin souffler et me reposer un peu. Depuis que je me suis lancé à l'aventure dans ma montagne je n'ai pas arrêter de bouger sans cesse. Je n'ai pas le temps de profiter d'un lieu que je dois déjà en partir. Quand j'étais dans ma montagne je n'avais pas besoin de compter le temps quand je contemplais le paysage et écoutais le vent.
Nous pouvons enfin apercevoir les remparts de la ville. Enfin après notre long trajet nous pouvons se dire qu'on est parvenu au bout sans encombre. Si seulement c'était vraiment le cas. L'instant d'après nous voilà déjà poursuivie par un groupe de cavalier venant de Terra. Ils voulaient s'en doute reprendre ce qu'ils avaient perdu mais cette fois-ci ils n'en auront pas l'occasion. Rey peut facilement distinguer leurs nombre et anticiper leurs actions. Je voulais me saisir de mon arme, prêt à faire face mais voilà que Rey s'en empare avant que je puisse réagir.
Hey !!! Mais c'est mon épée !
L'instant d'après elle venait de trancher la tête du premier garde mais elle ne pourrait pas tous les vaincre. J'avais encore le fusil que je m'étais emparé l'autre fois dans le désert. Thaor profite du moment pour utiliser sa préparation. Les anges sont alors complétement déboussolé. Je me dépêche de viser et de tirer. Le premier coup part mais je loupe, je retente ma chance encore en vain. Je décide de faire feu à plusieurs reprises et parvient à en toucher un qui tombe du cheval. Je cours alors en direction de Rey pour récupérer mon arme et lui passer le fusil. Un second cavalier arrive vers elle. Je me saisie de ma hachette et la lance sur le garde qui vient le toucher en plein l'épaule, le désarmant alors et le désarçonnant.
Tiens prends le, tu es meilleur tireur que moi. Je suis plus adepte avec des armes traditionnels.
Je cours en direction du garde qui vient juste de se relever et lui porte un grand coup avant qu'il puisse réagir. Il ne restait plus que deux gardes dont un qui était blessait.




