Bienvenue sur le nouveau forum des Descendants de l’humanité, se passant 1250 années après le précédent forum.
Les choses ont bien changé sur Terre depuis la première catastrophe nucléaires, une seconde catastrophe créé par l’éther a marqué l’histoire de façon drastique, réveillant d’ancienne entité qui n’auraient jamais dû se réveiller.
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Inscription : Apr 2016
Date de naissance: -1100av.JC
Quelle espèce êtes-vous ?: Dragon de l'ombre
Votre petite tête: Hauts faits :
Nous sortons nous promener, Aelita s'accroche à moi, à mon bras, nous marchons un moment, parfois nous regardant, tel deux amoureux qui s'aiment. Lorsque nous nous arrêtons, Aelita me parle de ce qui pourrait être fait dans l'avenir, moi chef de Mortifia et elle Chef de Terre, unis pour diriger les deux villes. Cela me parait être une bonne idée, mais nous sommes soudainement interrompus lorsque Aelita repère le groupe d'individu qui lui en veut. Elle m'emmène dans une ruelle, j'étais prêt à leur en faire baver pour les menaces qu'il avaient fait à Aelita. Nous entrons dans une maison mais nous sommes rapidement attrapés par ce groupe.
Nous essayons de nous enfuir mais nous sommes attrapés et tombons dans l'escalier que nous grimpions, par chance Aelita tombe sur moi, je ne m'inquiétait pas pour l'enfant actuellement, mais pour la femme que j'aime.
Ça va ?, je lui murmure.
Mais avant qu'elle puisse me répondre nous sommes séparés par ses truands dont l'un deux braque une arme sur moi. Aelita se débat et demande à me laisser tranquille.
Si tu touche à un cheveux de ma femme, commence à faire t'es adieux à t'es bijoux de famille car tu pourra aller t'en faire greffer une nouvelle paire.
Ils ballonnent Aelita alors que je reçoit un coup. L'homme face à moi rit mais en me relevant je porte un grand coup de genoux là où je lui avait dit juste avant. J'attrape mon arme et tire un coup. Il se met à hurler alors que ses hommes le regarde souffrant. Je m'abaisse devant lui.
Je t'avais prévenu.
Je me relève et regarde ses hommes.
Quelqu'un d'autre veut s'y tenter ? Non ? Alors dégagez ! Et apportez cette raclure à l'hôpital.
Je m'approche d'Aelita difficilement, le coup à la tête me fait tournoyer ma vision. J'attrape l'arme de l'autre homme qui est restée au sol et enlève les munitions qui sont dedans. Une fois auprès d'Aelita, je la prend dans mes bras, ma tête posée sur son épaule, le regard concentré sur les nœuds qui la retiennent. Je la détache et enlève son bâillon, et je la sert fort contre moi.
Tu comprends pourquoi je ne voulais pas sortir le temps que le ménage de la ville n'était pas fait., je lui murmure.
Je sens quelques goutes sur mon épaule, Aelita devait pleurer silencieusement après cette frayeur.
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Inscription : Mar 2016
Titre(s): Princesse illégitime Lumina
Sorcière de lumière
Chasseuse de monstres
Date de naissance: 21/06/1233
Quelle espèce êtes-vous ?: Lumina
Biographie: De son véritable nom Frejalla Lumina, héritière illégitime de la citadelle de Lumina.
Freja est une jeune femme qui a toujours dû se débrouiller et qui a tendance à repousser les autres au nom de sa propre sécurité. Courageuse, et beaucoup trop sûr d'elle, on la retrouve aisément blessée après une bataille pour son goût du risque.
Lieu d'habitation: Sanctuaire des sorcières
Votre petite tête: Hauts faits :
Alors que mon amoureux se bat violemment contre nos agresseurs, je suis incapable de faire quoi que ce soit. Je prie simplement pour qu'il ne soit pas blessé, mais la tournure du combat me confirme sa puissance physique, son agilité et la colère qui gronde dans son cœur. Je le laisse se battre et je ferme les yeux, priant pour que rien n'arrive, que le sang ne soit pas versé, que la vie soit épargnée. Lorsqu'un coup de fusil part, je me retiens d'ouvrir les yeux, de peur de trouver l'amour de ma vie, couché au sol. Je comprends rapidement qu'il n'est pas celui qui se trouve blessé et j'ouvre à nouveau les yeux.
Theodor, je murmure.
Il vient jusqu'à moi, défait mes liens et me prend dans ses bras. Mes larmes coulent silencieusement sur mes joues, la peur de perdre Theodor s'en va aussi vite qu'elle est venue, mais je suis encore choquée par tout ce qui s'est passé. Je reste silencieuse durant un moment, abasourdie devant ce que sont ces gens, ce que le gêne des sentiments peut faire chez certain. Je détourne le regard et j'échappe à l'étreinte de mon amoureux.
Je ne peux pas supporter cette facette de l'ange, dis-je tout bas. Je comprends pourquoi nos ancêtres voulaient endiguer la violence. Elle sera toujours là, justifiée par le pouvoir ou par amour. Je n'arrive pas à le supporter. Je pensais que je pouvais, mais je ne peux pas...
Je me lève difficilement, ravalant mes larmes et serrant mes bras autour de moi.
Je ne peux pas donner la vie dans un monde pareil, je ne peux pas infliger à un enfant de voir toute cette violence, toute cette haine de l'autre. Je... Je ne sais pas si je vais supporter de vivre ici.
Je tourne les talons et je sors de la maison. Je m'adosse contre le mur, laissant mes pensées divaguer et de part et d'autres de mon esprit. Je ne suis pas habitué à cette vie et malgré les bons moments avec Theodor, je ne sais pas si je serais capable de m'habituer à cette éternelle violence. Je tourne la tête vers mon amoureux.
Être infirmière, médecin chez les anges, a toujours été une évidence pour moi. Je voulais aider les autres, préserver la bonté, sauver les anges. Je crois que tous ne peuvent être sauvés et que je me suis fourvoyée en pensant pouvoir y faire quelque chose.
Je pousse un long soupir et je m'avance vers Theodor. Je prends chacune de ses mains et j'essuie mes larmes du revers de ma main. Je fais la moue et je prends une profonde inspiration.
Je sais que tu prends très à cœur cette mission de chef en second, mais je ne suis pas certaine de pouvoir te suivre dans cette voie. Je comprends que tu veuilles avancer également avec Rey, mais je ne pourrais pas vivre dans cette ville si je dois encore supporter cette violence. Toi aussi, tu es violent, mais par amour pour moi, pour me protéger. La violence engendre la violence, elle nous détruira si nous restons ici.
Je me blottie dans les bras de mon amoureux et je hume son doux parfum.
J’espérais pouvoir attendre la fin de cette guerre avec Terra. Peut-être que j'en demande trop, que je devrais prendre le temps de m'adapter. Seulement, je ne suis pas une citoyenne de Mortifia, je n'ai pas vécu ici, dans la douleur et la violence. Je ne sais plus qui je suis.
Non pas que Terra me manque, mais il est vrai que la douceur de la vie y est si différente
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Quelle espèce êtes-vous ?: Dragon de l'ombre
Votre petite tête: Hauts faits :
Une fois Aelita libérée et les hommes partis, je la rejoins à l'extérieur et la reprend dans mes bras. Je caresse son dos, lui rappelant que dans ce monde de brute, il y a au moins une personne qui ne le sera pas avec elle, par à ce point. Aelita est tendre, elle n'aime pas la violence, sauf pour certains points mais elle ne doit pas toujours être dans le même état.
Je t'avais dit qu'il fallait attendre 24 petite heures de plus, je murmure
Je lui prend la main et lé regarde avec inquiétude, elle ne semble pas aimer la violence, mais j'espère que mon acte ne la ferra pas fuir. Je fais les choses comme je suis entrainé à les faire mais aussi pour la défendre, et lui rendre la tranquillité et la paix qu'elle recherche.
Tu veux rentrer ?
Je pense qu'avec ce qu'il s'était passé, Aelita n'aurait plus l'envie d'aller plus loin, mais je pouvais encore lui faire changer d'avis.
Sinon je connais un petit jardin tranquille non loin de là, personne n'y va jamais en journée, nous pourrions en profiter. Quand à ces voyous, demain ils seront en redressement pour changer leur comportement, cette ville se doit d'avoir meilleur accueil jusqu'au jour où nous pourrons faire retourner tout le monde à Terra. Ça semble être mieux que de garder ces deux villes séparés, n'est-ce pas ?
J’esquisse un sourire à Aelita pour essayer de lui remonter le morale et qu'elle accepte ma petite proposition d'aller dans ce petit jardin tranquillement en amoureux. Il y a encore moyen de rendre cette promenade intéressante.
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Biographie: De son véritable nom Frejalla Lumina, héritière illégitime de la citadelle de Lumina.
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Je pousse un long soupir. Theodor a raison après tout, nous avons les mêmes projets, les mêmes souhaits pour notre humanité à nous. Je fais la moue et je me laisse timidement guider par ces pas.
D'accord, allons nous promener.
Nous quittons ce maudit endroit et nous vagabondons à travers les rues. Je garde ma main, nouée autour de celle de Theodor et je lui souris.
J'aimerais également que nous puissions tous vivre ensemble. Néanmoins, je pense que nous devrions donner le choix à tous de vivre où ils le souhaitent. Terra a plutôt un climat frais et plaisant, j'aime cet endroit. Mortifia est chaud, mais tout le monde ne peut aimer le froid. Nous pourrions être une sorte de grande nation, même si nous ne vivons pas au même endroit.
Je me tourne face à Theodor et je me plante devant lui. Nous atteignons bientôt les fameux jardins évoqués par Theodor et je souris.
Je crois que j'aimerais vivre en montagne, je murmure. Seulement, j'aime Terra et je souhaite définitivement devenir médecin. Pour diriger la ville, j'y ai été formée, mais ça me semble bien plus compliqué sur le terrain.
J'entraine Theodor dans les jardins et nous nous asseyons sur un banc. Nous profitons du calme et d'un peu de fraicheur qu'offre le jardin. Personne ne vient jamais ici apparemment, c'est un moment entre amoureux que nous pouvons partager à deux.
Je caresse la joue de mon amoureux et je dépose un baiser timide sur ses lèvres. Je pose ma main sur mon ventre ainsi que celle de Theodor.
As-tu pensé à un prénom ? je lui demande.
Bien que j'en ai déjà un, si cet enfant venait à être une fille.
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Aelita me fait assoir sur un banc, nous prenons un instant pour nous, enfin.
Nous nous embrassons avant qu'Aelita m'attrape la main et me place devant une question assez difficile.
Je n'ai pas vraiment réfléchis à ça je dois t'avouer, depuis cette nouvelle je ne cesse d'avoir des choses à faire, je ne cesse de courir, c'est pour ça que je veux profiter de toi lorsque j'ai ce temps libre, pour pouvoir prendre ce temps de réflexion qui me serait si précieux.
M'accorderas-tu au moins ces 24h demain, ensembles ? On fera ce que tu voudras, même oser de faire ce que tu sais, on peut toujours le faire, du moins le temps limite se rapproche mais n'oublie pas que t'es hormones joues en toi, je l'ai vu, tu as le regard fuyant par moment.
Je profite que nous soyons caché pas un gros buisson sur ce banc pour provoquer ma partenaire, je sais qu'elle veux le faire, elle se mordille les lèvres en permanence quand elle me voit mais se résigne à me demander aussitôt.
Je glisse ma main sur sa jambe, partant de son genou, remontant millimètres par millimètre pour imposer une envie longue et lassante, plus ce sera long, plus sa résistance sera réduite.
Aelita ? Acceptes-tu ma proposition pour demain, oui tu va devoir attendre un peu à moins que tu trouve une idée dès qu'on rentre., je dis en ronronnant très près d'elle.
Je relève ma mains et la pose sur son ventre, je la regarde dans les yeux avant de l'embrasser avec amour. En me reculant, je mordille sa lèvre inférieure tout en gardant le regard dans le sien, je reste provocateur avec elle, nous avions encore quelques mois, elle le savait, elle a fait les études pour après tout.
Je nous conduit dans notre suite au Centre stratégique en la prenant dans mes bras comme si nous étions de jeunes mariés, elle rigole à ma façon de faire, elle savait que je faisais ça pour être au petit soin pour elle et pour notre petit jeu.
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Je souris à la provocation de mon amoureux. Nous aimons tous les deux jouer à ce petit jeu, depuis le premier jour de notre rencontre. La première fois que je l'ai vu, j'ai pensé qu'il ne s'agissait que d'attirance physique, que de pulsions sexuelles, mais c'était bien plus que ça. Ce que j'ai vécu, c'était un coup de foudre pour Theodor. Il m'a émoustillé dès notre premier regard, il m'a conquise dès ses premiers mots. J'ai succombé dans ses bras après des années dans la retenue. Theodor est mon âme-sœur, je l'ai su dès le jour où je l'ai rencontré.
D'accord, je souris. Va pour 24 heures.
Theodor me soulève avec facilité, d'abord parce qu'il est très musclé, ensuite parce que je suis un poids plume. Il nous traine jusqu'au centre stratégique et nous retournons dans notre jolie suite. Luxueuse à sa manière, car elle a déjà perdu ses riches meubles, mais elle reste très royale. Le grand lit a été laissé ici pour maximiser mon confort de femme enceinte, j'imagine.
Theodor me garde dans ses bras et me dépose sur le grand lit à baldaquin. Je l'attire aussitôt contre moi, tel un félin.
Ne crois pas que tu peux me provoquer ainsi et rester impuni, ris-je. A quoi joues-tu ? Comment oses-tu provoquer une femme enceinte ?
Je lui souris avec provocation et je bondis hors du lit. Je me hisse jusqu'à la porte que je verrouille à clé et je me tourne face à mon amoureux. Je ferme les rideaux afin de plonger la pièce dans le noir et je me faufile avec discrétion jusqu'à Theodor.
Profitons du calme, chef Theodor.
J'envoie valser son t-shirt afin de satisfaire notre besoin de futurs mariés.
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11 Sep 2016, 23:10 (Modification du message : 11 Sep 2016, 23:11 par Zendrerth Amdril.)
Les premières mesures Aelita
Nous arrivons dans la chambre et je dépose Aelita sur le lit.
Tu n'es qu'au début de ta grosse, toi comme moi savons qu'il nous reste encore quelques mois pour s'adonner à ça.
Elle se lève et nous mets dans le noir, enlève mon t-shirt et glisse sa main sur mon torse. Je sais que j'ai touché un point sensible sur ces envies, mais cette envie est commune à nous deux.